Le processus de la compétence communautaire pour la vie (PCCV ou CLCP selon l’acronyme anglais) a été introduit dans plus de 60 pays avec des résultats solides. Ceci est confirmé par les évaluations externes indépendantes suivantes :
Utiliser l'approche SALT pour augmenter l'acceptation de vaccination contre la poliomyélite au sein des communautés religieuses dans la province du Katanga, en République démocratique du Congo (CDC, Rapport sur le programme de recherche de la division immunisation mondiale, 2011-2013)
Objectifs et impact: Améliorer l'acceptation de la vaccination chez certains groupes religieux ayant une longue histoire de refus de vaccination dans la province du Katanga en République démocratique du Congo (RDC) en utilisant une stratégie de communication communautaire innovante (SALT - Stimuler, Apprécier, Apprendre, Écouter, Lier, et Transférer) qui est documenté par le Programme commun des Nations Unies sur le VIH / SIDA comme une bonne pratique. Ce projet, soutenu par l'UNICEF en RDC, le CDC, et RDC Compétence (l'ONG congolaise de mise en œuvre), avait pour but de changer les taux d’acceptation de la vaccination contre la polio, conduisant à une plus grande immunité de la population et à une interruption durable de la circulation du virus de la polio.
Statut et résultats: La mise en œuvre a commencé à la mi-2012, et à la fin de 2013, un groupe de scientifiques sociaux indépendants des universités de la RDC et de Belgique ont examiné le projet dans le cadre d'un examen plus large de tous les projets de mobilisation sociale qui ont eu lieu dans la province du Katanga au cours de la même période de 18 mois. Les évaluateurs ont conclu que l'approche SALT était approprié pour l'objectif de changer les attitudes et les comportements face à la vaccination d'acceptation, mais ont aussi conclu qu'un délai plus long pourrait assurer que les changements soient adoptés à long terme et que les nouvelles attitudes soient transférées aux communautés voisines qui n’étaient pas directement engagées dans le projet. Les examinateurs ont recommandé 5 ans de mise en œuvre à l’avenir".
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Pour lire cet extrait de la publication originale du CDC, voir page 11 du document PDF que vous pouvez télécharger en cliquant sur le bouton ci-dessous:
L'évaluation économique du Processus de Compétence face au sida (ACP selon son sigle anglais) en Thaïlande (2011)
Cette évaluation montre que: Selon les hypothèses du scénario de cette étude et la comparaison des coûts et des résultats de l'ACP en utilisant divers scénarios, il est constaté que l'ACP est susceptible d'être très rentable en Thaïlande lorsque l'on compare le rapport coût-efficacité de l'ACP avec d'autres programmes de prévention du VIH de la revue systématique. L'ACP permet d'économiser une aide de QALY (année de vie ajustée par sa qualité) en utilisant des ressources dont la valeur est estimée à moins de 1 Produit intérieur brut par habitant (environ 140.000 Baht), qui est un indice de référence de rentabilité tel que défini par l'Office national de sécurité sanitaire qui gère le programme de prévention du VIH en Thaïlande. En outre, cette étude suggère qu’au plus élevé le nombre personnes appliquant la Compétence face au SIDA (ACP), au plus rentable l’ACP devient, permettant non seulement d’éviter l'infection par le VIH dans la population, mais d’améliorer également la capacité individuelle, entraînant une augmentation de la qualité de vie au sein de la population.
Pour lire le rapport complet:
Évaluation de la Compétence face au sida réalisée par ONUSIDA (juin 2005)
Cette évaluation conclut que « … entre 83% et 87% [des personnes engagées dans le processus de la Compétence face au sida] sont satisfaites et convaincues que le programme a un impact dans les communautés, sur base des résultats qu' elles voient ou perçoivent dans leurs communautés.»
«Le rapport coût-efficacité-rentabilité varie de 0,10 $ US à 2,00 $ US par personne sensibilisée (> 1 million). Le rapport coûts / portée peut devenir négligeable au fur et à mesure que la Compétence face au SIDA et les connaissances associées se propagent dans les communautés. Les coûts par utilisateur satisfait susceptible de propager le processus varient actuellement entre US 1,00 $ US et 4,50 $ . »
«Le rapport coût-efficacité-rentabilité varie de 0,10 $ US à 2,00 $ US par personne sensibilisée (> 1 million). Le rapport coûts / portée peut devenir négligeable au fur et à mesure que la Compétence face au SIDA et les connaissances associées se propagent dans les communautés. Les coûts par utilisateur satisfait susceptible de propager le processus varient actuellement entre US 1,00 $ US et 4,50 $ . »
Pour lire l'évaluation:
L'évaluation Roll Back Malaria / PATH de la Compétence face au paludisme dans 9 pays africains (2009)
Cette évaluation conclut que « le processus de Compétence face au paludisme est très susceptible de favoriser un fort sentiment d'appartenance communautaire. Le processus d'auto-évaluation a conduit à une forte augmentation des initiatives communautaires pour créer une plus grande sensibilisation de la communauté autour de la malaria. Il peut être utilisé pour le suivi et l'évaluation, en particulier lorsque les évaluations sont documentées et répétées sur une base régulière. Le Programme national de lutte antipaludique en Gambie estime que l'approche de la Compétence face au paludisme joue un rôle dans la construction de réponses communautaires durables pour lutter contre le paludisme. »
Lire le rapport complet en cliquant ci-dessous:
L'évaluation qualitative du Groupe d'action sur les réponses locales au VIH en Inde (2008, Initiative ONUSIDA)
Cette évaluation a montré l'impact de la facilitation de la Compétence face au SIDA. Les réponses locales ont été facilitées par Samraksha dans Raichur et le réseau d’Action pour la santé communautaire de l’Armée du Salut (CHAN selon son sigle anglais) à Aizawl. L'étude a conclu: « La stigmatisation et la discrimination est réduite en raison d'une plus grande clarté sur la nature de l'épidémie, et d’une plus grande réflexion sur les différents facteurs moteurs de l'épidémie. L'approche est une stratégie viable, qui peut être mise en œuvre parallèlement aux interventions existantes, en vue de promouvoir une réponse plus durable qui peut répondre aux besoins d’une épidémie variée qui se propage et se généralise progressivement. »
Lire l'évaluation en cliquant ci-contre:
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L'évaluation de la Compétence face au SIDA par l'OMS-UNICEF en Papouasie-Nouvelle-Guinée (2009)
Cette évaluation conclut: « Le processus de la compétence du SIDA est une approche efficace dans la lutte contre le VIH / SIDA par l'autonomisation locale, et doit être poursuivi et élargi. Il répond aux besoins locaux et son soutien constant a donné lieu à des actions locales soutenues. La méthode - faible en coûts mais nécessitant souvent une main-d'œuvre intensive - a été productive. Les résultats sont significatifs : sensibilisation, responsabilisation, plans d’actions et actions concernant à la fois le VIH / SIDA et les questions sociales et autres situations connexes ».
Pour lire le rapport complet.
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